L'entretien de l'intime, pour le meilleur à venir
Le problème de la balle dans le camp c’est de ne pas savoir de quel côté la renvoyer, aux aléatoires des densités diluviennes je choisis les effets télescopés de nos poussières de soi au firmament des infortunes quinquennales. Faut s’y voir pour y croire, la calèche de nos efforts entremêlés aux contrecœurs des découvertes traîtresses, je dis pas que je pourrais finir le jeu de la marelle mais j’voudrais au moins ramer à tes côtés jusqu’à la dernière case double.
A nos rendez-vous sous couvert d’amertume je jette la pierre, aujourd’hui il n’y a plus que des sillons de Bonaventure sous nos semelles aux résistances endurcies. Les réjouissances en bouquet de nos avenirs fleurissants, le sourire aux anticipations ensoleillées pour nos partages culinaires dans la vallée débouchée de nos écumoires tissés d’amitié retrouvée. Je serais prête à le jurer, si un plus un double nos chances d’attentats anonymes, y’a des chances qu’on voit l’augmentation de nos carrefours esquissés à l’ombre de nos sourires trop longtemps dissimulés à nos demandes avides d’amour formulée dans chaque espace inconscient et dans tout mouvement instinctif.